mardi 20 décembre 2016

Pleurez pour moi.

Il voulait qu'elle pleure. Et admirer ses larmes couler sur son visage, les attraper de sa main, et caresser doucement sa joue. Mais elle lui dit qu'elle ne pouvait, que ce n'était pas dans sa nature.

Il frappa son cul à mains nues, avec sa ceinture, un paddle, un martinet jusqu'à ce qu'elle crie son nom, déchirant l'air de la pièce. Elle cria encore, des insultes, demanda pitié, mais aucune larme ne fut versée.

Une main sur sa bouche, il contrôlait sa respiration alors qu'il se tenait derrière elle, tout en griffant son dos. Elle gémissait, elle haletait quand ses yeux se retournèrent dans un vertigineux abîme. Mais ses yeux la trahirent et ne se livrèrent pas. Fruits d'une frustration, qu'il avait maintenant soif de goûter.

Il ouvrit ses jambes et réclama son du. Sa chatte fut caressée, pénétrée, frappée à plusieurs reprises, une irrésistible combinaison et une détermination qui eu raison d'elle, forcée de jouir jusqu'à épuisement.. Elle était réduite à rien de plus qu'un corps, une chair vibrante, qui luisait à la suite d'une explosion d'orgasmes sur chaque partie de sa nudité, qu'il avait marqué et pris pour son propre plaisir.

Elle donna tout ce qu'il voulait, tout ce qu'il demandait, sauf ces larmes insaisissables qu'elle gardait enterrées comme si elles étaient son trésor le plus secret.

Tout en la possédant comme rien de plus que sa propriété, il attira son corps contre lui et l'embrassa de toutes ses forces.

Dans le silence et la tranquillité du moment, il lui dit ce qu'elle représentait pour lui, d'une manière crue, nue et sérieuse. Lorsque qu'il la regardait, il voyait l'endroit exact où il voulait être, à côté d'elle. Quand elle portait son collier, elle réalisait quelque chose de plus fort que ce qu'il pensait possible, elle en faisait plus qu'un symbole, elle en faisait une réalité. Une réalité qui annonçait qu'elle était à lui, que sa domination était son abri, qu'il la protégeait et la chérissait comme la personne la plus importante de sa vie, la partie la plus importante de son cœur.

Il sentit des larmes s'écraser sur sa main alors qu'il la serrait. Il embrassa et goûta ses larmes, savoura à jamais le moment.

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Parfois, la chose la plus lourde avec laquelle frapper votre soumise est l'amour.

mardi 13 décembre 2016

Faites la rêver

Parfois, elle se présente ne portant rien d'autre qu'un jeans, un t-shirt et sa malice. Attrapez-la par l'arrière du cou et attirer-la fermement à vous, penchez-vous vers elle d'une manière menaçante et laisser la entendre votre humeur, que vous aller abuser d'elle sans ménagement.

Mais avant, sortez. L'intensité du moment est palpable et vous pouvez voir dans son sourire la soumise obéissante qu'elle aime être. Amenez-la dans la profondeur d'une foret, quittez les sentiers balisés, le genre de promenade au cour de laquelle vous devez vous frayer un chemin. Dites-lui de rester à proximité, d'être sage et prête, à tout...

Trouvez une clairière isolée abritant des roches. De grosses branches plafonnent au-dessus, prenez une corde dans le sac à dos. Et à la lumière du coucher du soleil et d'une tension sexuelle croissante, attachez la entièrement vêtu, les mains liées étroitement au-dessus de sa tête à une branche. Sortez le couteau de votre poche et découper ce tee-shirt, et alors qu'elle fait la moue, dit lui que vous allez la corriger et la baiser, puis embrasser-la violemment, descendez son pantalon sur ses chevilles et jouez avec sa chatte.

Alors que tous ses remparts sont tombés, que les pointe des seins frissonnent, prenez-la, frappez, criez, griffez et mordez son cou sans concessions. L'air vif du crépuscule vous embrasse tous les deux, vous la possédez comme un animal, une baise sans concession.

Pénétrez, sucez, griffez et mordez à en faire couler de sa chair offerte des gouttes de passion, possédez ce corps qui vous est offert.

Ensuite, souciez-vous d'elle, enveloppez-la de vos bras, et recouvrez-la de ce tee-shirt supplémentaire acheté discrètement pour remplacer celui que vous avez découpé. Qu'elle comprenne les profondeurs de votre force, l'ampleur de votre volonté, l'animal que vous abritez. Mais toujours qu'elle se sente abritée, aimée et chérie. Vous avez besoin du sacrifice de son corps sur l'autel de vos plaisirs. Alors en un lieu inconnu, avec rien d'autre que la nature et vos yeux pour l'admirer, quand elle s'offre ainsi savourez cet instant unique.



Baisez la sans remords, mais assurez-vous toujours qu'elle sache combien vous aimez ce pouvoir, ce contrôle, combien vous l'aimez, même quand elle est de mauvaise humeur. Faites-la se sentir spéciale et faites la rêver.

mardi 6 décembre 2016

Ce n'est pas une règle

Ceci est bien réel
Et n'est pas feint
Si la réalité
Ne répond pas aux attentes
L'un des deux
Peut simplement se lever et partir

Ce n'est pas une règle
Ou un simple geste
C'est une partie de mon être
Et je sais que cela fait aussi parti de vous

Où la cohérence est la clé
Et les désirs aspirent à être atteint
Il est facile de dériver
Parfois, nous l'oublions simplement

Quand les choses se relâchent
Le lien est plus difficile a resserrer
On ne peut réécrire les règles
Et attendre que tout soit bien

Que vous soyez soumise ou dominant
La clé pour vivre
Est d'être compatible
C'est le seul moyen d'en sortir

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C'est un échange de pouvoir
D'idées et de désirs
Mais si vous n'êtes pas connectés
Alors à un moment donné
Le lien sera brisé