J'aimais vous entendre geindre et gémir
J'aimais vous voir vous agenouiller
Votre tête inclinée
Et attendre mon prochain ordre
j'ai adoré
Le son de votre sourire
Plus que toute autre chose
J'aimais vous voir vous agenouiller
Votre tête inclinée
Et attendre mon prochain ordre
j'ai adoré
Le son de votre sourire
Plus que toute autre chose
Vos rires m'ont enchanté
Vos étreintes chaleureuses m'ont apaisées
La façon que vous avez de bouger
De me parler avec dévotion
Mais c'était le son de votre sourire
Qui m'a toujours guidé vers vous
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| @Équilibre |
Je l'entends au loin
Maintenant, il sonne différemment
Depuis que Nous ne sommes plus
Un si bel hommage à ce qui fut mais qui n'est plus, pour des raisons qui vous appartiennent... Lorsque l'un part et l'autre reste, il ne reste que quelques souvenirs. Et que ce soit les sourires qui perdurent par delà la rupture, quelle musique douce au cœur, même si empreinte de regrets ou de tristesse.
RépondreSupprimerj'ai aimé son regard tendre et dur, la douceur et la fermeté de ses mains mais plus encore, ce qui m'a longtemps manqué c'est le murmure assourdissant de son silence quand il me détallait ou se jouait de moi
RépondreSupprimerencore un beau texte que vous nous offrez là emplie de tendresse, peut-être de tristesse ...
« J’ai toujours aimé le désert. On s’assoit sur une dune de sable. On ne voit rien. On entend rien. Et cependant quelque chose rayonne en silence. Ce qui embellit le désert, dit le petit prince, c’est qu’il cache un puits quelque part » . Il en va de même pour la vie et les sourires. Et Vous le savez puisque je Vous l’ai dit... j’avais presque réussi à ne pas pleurer aujourd’hui. Baisers Mon Sieur.
RépondreSupprimerC'est très émouvant...
RépondreSupprimerCela me rappelle Celui que j'ai quitté il y a plus d'un an....je l'ai fait à contre cœur, avec des regrets pour me protéger et cesser de souffrir. Il restera mon premier Maître en réel et quoi qu'il se passe, il aura toujours cette place particulière en moi.
RépondreSupprimerÉcrire juste ces quelques mots me fait encore pleurer...
Galathee