Vous savez que ce que vous avez fait est mal, n'est-ce pas?
Elle était désolé, et maintenant c'est moi qui allais la désoler, lui faire regretter. Envoyée au coin, la culotte aux chevilles, elle attendait que je sois prêt à m'occuper d'elle.
Tenez-vous droite, n'empirez pas la situation, n'aggravez pas votre cas.
J'ai empoigné sa sauvage chevelure et lui ai lever la tête, corriger sa posture!
Maintenant, restez ici et pensez à ce que vous avez fait.
Elle est restée ainsi le temps pour elle de réfléchir. Je pouvais la voir se débattre entre la honte, l'inquiétude de ce qui l'attendait, et le plaisir à peine dissimilé que lui procurait cette situation.
Je suis prêt maintenant, venez vous coucher en travers de mes genoux, et présentez moi votre cul!
S'en suivit une cinquantaines de fortes claques. Elle tenta bien de protéger la blancheur de son postérieur avec ses mains, d'esquiver et même de descendre de mes genoux. La menace de l'attacher et d'ajouter vingt-cinq piquants baisers suffirent à réprimer toute hardeur de sa part. Exactement au moment ou j'ai murmuré à son oreille. "Faites moi plaisir, essayer donc pour voir..."
Je savais que cela était intense, je pouvais voir à quel point son cul s'illuminait de rouge, et percevais la chaleur qui en irradiait après chaque claque. J'ai fini par embrasser ses larmes et caresser sa chair meurtrie. Lentement ma main s'est insinuée entre ses cuisses, délicatement je l'ai caressé, doucement mes doigts se sont noyés dans son plaisir.
Vous le savez, j'ai plaisir à vous corriger, encore plus à vous faire jouir.
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