Vous ne saurez pas ce qui vous a frappé quand je vous courberai en vous disant de garder vos mains sur le canapé. Ensuite, vous sentirez ma ceinture mordre votre cul alors que je me délecte de vous voir mal à l'aise. Mais vous saurez devoir ne pas bouger, parce que si vous le faites, je vous frapperez encore plus fort afin de vous faire obéir.
Vous serez certainement surprise et ébranlée quand, sans aucun avertissement, je vous jetterai sur le canapé et avec une prise impitoyable autour de votre cou et un sexe aussi dur que le roc, je commencerai à vous posséder de toutes mes forces. En poussant au plus profond de vous, vous aurez l'impression que mon poids va vous renverser du canapé. Mais je vous maintiendrai en place comme une poupée de chair, pendant que je pilonne votre corps, éventre votre ma chatte, et vous inonde.
Vous n'avez aucune idée, n'est-ce pas? À quel point je vous veux, ni toutes les perversions et plaisirs que je vous réserve. Après que vous soyez étendue au sol, couverte de marques et que vous portiez mon plaisir en vous, vous me regarderez et comprendrez qui je suis.
Cet homme dans vos rêves les moins avouables, que vous supplierez de servir encore et encore.
en cette période de confinement et frustration votre texte met le feu aux poudres ... entre autres :-) ... sans avoir l'idée de ce qui va se passer!
RépondreSupprimerJ'aime l'idée d'allumer un feu... De souffler sur ses braises, de tisonner son foyer avant de profiter de sa chaleur...
SupprimerQuel plaisir de vous relire après une si longue absence. Je n'ai qu'un seul mot: Encore
RépondreSupprimerOh, merci beaucoup Emma!
SupprimerSans chercher à me justifier, un besoin d'introspection, d'isolement et de recentrement sur des essentiels m'a quelque peu éloigné de mon territoire.
Je devais allé faire des ronds dans l'eau, mais un vilain virus (je lui ferai bien claquer mon fouet sur le cul) m'a retenu.
Entre photographie et écriture, j'égraine le temps.