Il frappa son cul à mains nues, avec sa ceinture, un paddle, un martinet jusqu'à ce qu'elle crie son nom, déchirant l'air de la pièce. Elle cria encore, des insultes, demanda pitié, mais aucune larme ne fut versée.
Une main sur sa bouche, il contrôlait sa respiration alors qu'il se tenait derrière elle, tout en griffant son dos. Elle gémissait, elle haletait quand ses yeux se retournèrent dans un vertigineux abîme. Mais ses yeux la trahirent et ne se livrèrent pas. Fruits d'une frustration, qu'il avait maintenant soif de goûter.
Il ouvrit ses jambes et réclama son du. Sa chatte fut caressée, pénétrée, frappée à plusieurs reprises, une irrésistible combinaison et une détermination qui eu raison d'elle, forcée de jouir jusqu'à épuisement.. Elle était réduite à rien de plus qu'un corps, une chair vibrante, qui luisait à la suite d'une explosion d'orgasmes sur chaque partie de sa nudité, qu'il avait marqué et pris pour son propre plaisir.
Elle donna tout ce qu'il voulait, tout ce qu'il demandait, sauf ces larmes insaisissables qu'elle gardait enterrées comme si elles étaient son trésor le plus secret.
Tout en la possédant comme rien de plus que sa propriété, il attira son corps contre lui et l'embrassa de toutes ses forces.
Dans le silence et la tranquillité du moment, il lui dit ce qu'elle représentait pour lui, d'une manière crue, nue et sérieuse. Lorsque qu'il la regardait, il voyait l'endroit exact où il voulait être, à côté d'elle. Quand elle portait son collier, elle réalisait quelque chose de plus fort que ce qu'il pensait possible, elle en faisait plus qu'un symbole, elle en faisait une réalité. Une réalité qui annonçait qu'elle était à lui, que sa domination était son abri, qu'il la protégeait et la chérissait comme la personne la plus importante de sa vie, la partie la plus importante de son cœur.
Il sentit des larmes s'écraser sur sa main alors qu'il la serrait. Il embrassa et goûta ses larmes, savoura à jamais le moment.
Parfois, la chose la plus lourde avec laquelle frapper votre soumise est l'amour.
Comment ne pas espérer ce regard....
RépondreSupprimerDe bien jolis mots Monsieur.
Merci PSganarel
SupprimerSuivre un ami nous mène là où le terrain devient moins ferme, moins sur, là où l'on se doit de garder son contrôle, ses sens en éveil et en alerte et, curieusement, le retour à la terre ferme, à la sécurité nous déstabilise ...Le corps se relâche, le ventre ouvre sa source, le cœur s'abandonne et murmure ...
RépondreSupprimerLes mots nous entraînent au centre de votre amour.
D'amour il n'y a. Mais toujours ce besoin d'écrire, de poser ici mes envie, mes plaisirs, mes rêves.
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