Pouvez-vous recevoir plus pour moi, le pouvez-vous?
Oui monsieur.
Votre dos et votre cul seront couverts de marques comme si j'étais un tagueur sadique. Je sentirai littéralement la chaleur exfiltrer de votre peau, verrez les marques changer de couleurs sous mes yeux et vous regarderez dériver plus loin dans un bel endroit, ce lieu de paix où tout ce que vous ressentirez sera le plaisir d'une chaleur enveloppante, comme le plus doux des câlin. Un endroit où vous laisserez votre corps derrière vous et embrasserez la partie la plus sereine la plus libre de votre esprit.
Tout cela, je le réaliserai à la morsure de mon martinet, à l'impact de mes mains, à la piqure de ma cravache, et surtout grâce à votre profond désir de me servir.
Vous approcherez la limite du supportable. Vous emmener plus loin éroderai le moment et vous éloignerai de votre parfait état de paix pour vous transporter vers une douleur moins agréable. Je ne le ferai pas. Mais je laisserai une dernière emprunte, une dernière signature de l'instant que vous pourrez enfermer dans vos plus beaux souvenirs. Je vous frapperai une fois encore et vous entendrai crier une forme d'extase que seul cette douleur peut créer.
Recevez une dernière fois pour moi.
Oui monsieur.
Je frapperai fort et vite, vous produirez ces sons qui satisferont pleinement mon sadisme. Puis je vous serrerai contre contre moi et vous direz combien je suis fier de vous, de m'avoir permis d'élever votre tolérance à la douleur avec toute l'attention que vous méritez.
Vous vous nicherez en moi comme dans des oreillers et des couvertures, dans un état de rêve conscient, capable d'accepter chacune de mes demandes. Mais la seule chose que je vous demanderai sera de vous reposer dans mes bras et de simplement être mienne, pour que je vous soigne, car vous aurez besoin être recouverte de tout mon amour à ce moment là.
J'aime torturer et utiliser mon jouet, et je vous récompenserai bien assez tôt; avec d'autres marques.
Oui Mon Sieur....
RépondreSupprimerBien mademoiselle,
SupprimerPosez vos mains sur la table, cambrez vos reins, présentez moi votre postérieur,je ne m’arrêterai qu'une fois celui-ci cramoisi, votre corps libéré, et votre esprit apaisé.
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