mardi 18 juillet 2017

Je n'en ai pas fini avec vous.

Son visage était rouge vif et ses poings serrés, comme s'il s'agissait d'un combat pour sa vie. Elle se battait contre moi, luttant contre cet orgasme écrasant qui maintenant l'avait à sa portée.

Son corps vibra violemment, elle griffa la main qui frottait son clitoris avec une grande intensité. Elle m'a maudit, a crié d'une manière torturée et délicieuse. Elle combattait, contre les sensations persistantes, contre ses liens, contre moi. Mais c'était un combat qu'elle voulait perdre.

J'ai ri et avant de la saisir par les cheveux et je l'ai regardé dans les yeux, la laissant voir mon inébranlable détermination à la contrôler de toutes les manières possibles. Son plaisir serait le mien, mais je devais la torturer pour mes avides besoins.

"Parce que vous avez joui, ne veut pas dire que j'en ai fini avec vous. Comprenez-le, mademoiselle."

Bien sûr, qu'elle comprenait, liée, piégée, son corps et son esprit s'étaient rendus depuis longtemps. J'ai continué à la fesser, à la tourmenter, à empoigner ses seins, frapper son cul et mordre ses tétons. Tout en agitant férocement mes doigts entre ses cuisses grandes ouvertes. J'alternais douleur et délice pour l'amener vers une overdose de plaisir; faire pleurer sa chatte, et laisser une grand flaque sur le parquet.

Après le deuxième orgasme, j'ai répété mon mantra de la nuit.

"Parce que vous avez joui, ne veut pas dire que j'en ai fini avec vous."

Maintenant, ouvrez vos lèvres et obtenez le privilège de me déguster jusqu'à ce que je jouisse. Docile, elle s'est exécutée; je l'ai fait jouir une fois plus.


Votre jouissance est un marque-page, elle n'est jamais une fin quand je joue avec votre corps et cela ne se terminera jamais avant que je ne le décide.

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