Mes rires vous tourmentent sans fin. Vous levez la tête avec ces beaux yeux tristes, un regard de frustration, à me faire durcir de vous voir souffrir si facilement. J'ai le pouvoir de vous faire attendre. Mon non est la chose la plus brutale avec laquelle je vais vous frapper ce soir.
"S'il vous plaît ... monsieur ...... s'il vous plaît", vous allez pleurer et je vais simplement m'asseoir et me relaxer, profiter de chaque seconde en vous regardant bouillir d'un besoin brut. Vous êtes si belle, réduite à être mon animal de compagnie.
Restreindre votre liberté, attacher vos mains, ouvrir vos cuisses, vous faire perdre encore plus patience, saisir un foulard de soie et caresser doucement votre peau, pendant que j'énumère en détails les sévices que vous avez réclamé, et voir si vous voulez toujours que votre corps souffre sous mes mains.
Suppliez!
Le tissu entre vos jambes, s'humidifie rapidement alors qu'il glisse sur vos lèvres gonflées de désirs.
Mendier!
Et vous le faites avec une incroyable conviction, le besoin et le désespoir dans votre voix, un ton fiévreux qui ne me laisse d'autre choix que de récompenser votre obéissance.
Je plonge mes doigts dans votre moiteur, vous arrachant facilement un orgasme avec d’habiles mouvements et l'ordre ferme de jouir. Vous vous penchez sur moi et me mordez le bras alors que vous goûter à cette délicieuse délivrance, si ardemment désirée et suppliée toute la soirée.
"Bonne soumise".
Ces deux mots vous libèrent du lien cérébral dans lequel je vous ai enveloppé et vous vous couchez sur le sol, essayant de reprendre votre respiration.
Je suis heureux quand vous mendiez et que vous devenez un animal de compagnie dépravé et nécessiteux, qui pleure pour les caresses de son maître. "Venez dans mes bras".
Mmm... Je vous supplie de continuer ! A écrire, entre autres ;-)
RépondreSupprimerC'est si gentiment demandé! Sourire
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