Les extrémités des lanières du martinet glissent sur son dos, doucement, la faire frémir.... Elle respire profondément, anticipation... Continuer un temps, la taquiner, l'exciter... Croisement rapide des lanières sur ses fesses, réveil des sens... Caresser doucement son sexe, recueillir sur ses doigts sa rosée et s'en délecter, elle est éveillée... Flagellation, en rythme lent mais régulier sur son dos, en alternance avec son cul. La tension se dissipe dans la chaleur de sa peau, elle perd pieds, s'abandonne...
Ainsi offerte, impuissante, à sa merci, l'assaut se poursuit sur sa chair exposée, entrecoupé de courtes pauses pour caresser son intimité qui perle de plaisir, tandis qu'à son oreille il glisse ces mots: "Profite de cette caresse". Gémissements et ondulations dévoilent sa nature animale. Il s'installe à ses côtés, profiter d'un mouvement de bras plus important... Sa main s'abat, lourde, sur son cul, à l'exact endroit où sa peau préchauffée en a besoin pour la plonger dans l'Ô trouble des plaisirs de la fessée... Par intermittence, il saisit un des globes de chair rougie, le pétrit, le caresse de lents mouvements circulaires avant de le griffer et de reprendre les claques, et la perdre dans le rythme hypnotique... Lui laisser suffisamment de temps pour savourer, et anticiper. Son intimité pleure et réclame ses doigts...
De claques en plaintes, de caresses en cris de plaisirs, elle tremble, emportée par une rivière d'endorphines, elle réclame la jouissance libératrice...
La déposer dans la fraîcheur des draps, douceur, caresser ses cheveux, son corps. Admirer la beauté de son visage apaisé, chuchoter des mots tendres, des mots d'amour. Heureuse, elle est exactement où elle le souhaite, dans ses bras.
Abuser de toutes caresses...
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SupprimerUn texte dans la parfaite lignée de celui du 16 août. Il y a les tendres prédateurs qui en toute circonstance restent humains et respectueux de l'autre....Et puis il y a les autres
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