Je ne lui ai pas demandé de se mettre à genoux, elle savait que c'était nécessaire, elle le voulait et elle l'a fait. Je ne lui ai pas imposé de rester ainsi, mais elle a su trouver une paix intérieure dans cette position qu'elle n'assumait pas il y a quelque temps. Elle en avait besoin autant que moi, mais je sentais qu'elle allait se rebeller, j'ai voulu lui donner une raison permanente d'y répondre et de dépasser ce cap.
Sur un épais tapis et une main ferme empoignant ses cheveux, je pouvais l'accompagner. Elle me fixait de ses grands yeux inquiets mais surtout interrogatifs alors que mes lèvres frôlaient les siennes; en une torsion de sa chevelure, de la plus belle des façon elle se vrilla, merveilleuse marionnette sous mon contrôle.
Une fessée en suspens, présentée avec séduction, rien de plus que des mots chuchotés à son oreille. Une fessée pensait-elle, cela faisait un certain temps qu'elle n'en avait pas reçue, cela l'excitait, même si elle ne connaissait pas ma façon de faire.
Elle m'a offert son postérieur, envahie par le désir de s'aventurer dans cet inconnu, un pari agréable qui a abouti à un échange de pouvoir et de passion. Elle pouvait entendre les claques résonner en elle comme ma voix qui y aurait élu domicile, lui commandant de recevoir plus que ce qu'elle pensait possible initialement. La douleur de ses genoux dans une position inhabituelle et la rougeoyante chaleur de son cul lui ont permis de disparaître dans le brouillard de sa servitude, elle flottait sur un nuage d'obéissance et elle aima s'y étendre, sous ma main.
Le lendemain, les cuisses brûlantes et les jambes douloureuses, elle boitât légèrement jusqu'à la salle de bains et eu un aperçu de ses fesses. Une empreinte de main était visible comme si elle venait d'y être peinte, et tout autour une flamboyante ecchymose qui déclencha un sourire venant directement de son bas ventre...