Brusquement elle émerge de son sommeil lorsqu'une main couvre sa bouche et qu'une autre limite ses mouvements en croisant ses bras dans le dos. Sa lingerie descendue autour d'une de ses chevilles faible rempart ne la protège plus, une queue palpite, frappe contre son cul et s'invite en son humide et chaud intérieur.
Gémissements étouffés par la main, excitée par cette situation inattendue, la vilaine pousse son cul en rythme contre celui de son assaillant, anticipe la pénétration. La main quitte la bouche et glisse vers une autre destination, atteint son clitoris et le caresse avec frénésie. Elle ne peut laisser échapper un gémissement de plaisir, suivi d'un "Je suis à vous, baisez-moi."
C'est demandé si gentiment qu'il ne refuse et s'enfonce encore plus profondément en elle avec aisance, d'une puissante poussée; qu'elle perçoive tout de lui. La garce se penche en avant, cambre ses reins et tend le cul, s'offrant plus encore dans une sublime indécence.
Elle cesse d'être femme, soumise, elle n'est plus qu'un animal dont la chatte chaude doit être envahie par un sexe viril. Il la pénètre avec une violence contrôlée qui répond en écho à son besoin d'être prise, d'être possédée sans ménagement. Elle joui de cette pensée, de ce besoin, de le ressentir, de la nature bestiale et passionnée de l'assaut.
Dans un respiration intense, son corps ravagé, son dos griffé, elle le sent jouir, fort, alors qu'il s’effondre sur elle, rassasié d'un repas dévoré avec passion.
Tandis qu'elle le sent s'écouler de ses lèvres humides, il l'attire à lui et la remercie pour ce succulent petit déjeuner au lit.
Bon appétit !
RépondreSupprimerCertains mets se dégustent sans appétit, mais avec gourmandise! Marci
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