mardi 27 novembre 2018

La dignité ne sera pas votre amie

Vous mendierez, vous aurez peur, vous pleurerez. Vous vous sentirez perdue dans vos propres peurs et vous vous replierez dans les recoins les plus sombres de votre esprit. Abandonnant votre corps à mon plaisir.

À genoux, vous embrasserez l'arbre. Cordes un peu trop serrées à votre goût, mais pas assez pour vous blesser. Yeux bandés, corps dénudé vous attendrez. Vous frapper de cette branche de noisetier, brûlure instantanée dans votre chair. Vous essayerez de tirer sur vos liens, et même aidé de la peur, vous ne serez pas capable de vous échapper. Combattre, fuir? Vous accepterez l'unique possibilité, céder.

La dignité ne sera pas votre amie quand vous me supplierez d'arrêter.

Et pourtant vous avez réclamé cela. Vous avez dit n'avoir jamais eu peur, que vous vouliez avoir peur, mais vous saviez que cette peur ne pourra être factice, qu'elle devra être réelle. Vous la sentirez vous envahir.

Dans les bois, étroitement liées avec de profondes ecchymoses, les genoux ensanglantés et la chair couverte de marques rouge vif . Votre maquillage sera noyé de vos larmes. Vous crierez et je vous laisserez faire, personne ne pourra vous entendre de cet endroit isolé où je vous emmènerai.

Je vous laisserez pourrir quelques minutes dans vos peurs que j'aurai rendu trop réelles. Vous vous délatterez, vous mendierez, pleurerez et supplierez que je vous libère, enfin.

Détachée et je vous serrerez contre moi. J'embrasserai chaque une de vos larmes, apaiserai chaque blessures et vous ramènerai à la paix avec rien de plus que la douceur de mes caresses attentionnées. De l'enfer au paradis, cela semblera plus grand que tout ce que vous avez jamais ressenti. Vous ne vous serez jamais sentie plus en sécurité, plus au chaud qu'à ce moment.


Je vous rendrai votre liberté, plus forte que vous ne l'étiez, votre dignité, parce que vous méritez plus que tout d'être respectée et chérie. Et vous verrez à quel point vous êtes belle est forte.

mardi 13 novembre 2018

Je veux que vous le voulez plus que tout.

Je veux que vous restiez là, nue, attendant, liée. Je veux que votre seule pensée soit que je m'approche de vous. Votre respiration est lourde et à chaque gorgée d'air, vous pouvez savourer les secondes qui défilent au rythme des pulsations de votre cœur. Votre désir rayonne de vous.

Le besoin de sentir mon contact, ma piqûre est trop fort. Vous pouvez sentir vos genoux fléchir, mais je vous ordonne de garder la pose.

Reste là et attendez, rends-moi fier de vous.

Je peux voir l'agonie sur votre visage alors que vous voulez sentir ma chaleur en vous serrant fort. Vous donneriez n'importe quoi pour sentir mes mains autour de votre gorge, faire taire le bruit dans votre tête et vous abandonner haletante, votre désir assouvi.

Je veux que vous le voulez plus que tout.

Et vous me le montrez.

En vous tenant là, offerte, nue, humide et désireuse d'être possédée, je vous torture d'une manière plus forte que vous ne pouviez l'imaginer.

Utiliser votre propre noir besoin d'être blessée et baisée contre vous est plus puissant que n'importe quel instrument que je pourrais appliquer sur votre chair. Chaque seconde qui s'égoutte lentement est une coupure beaucoup plus profonde que celle de mon fouet.

Le contrôle est une chose merveilleuse et vous voir dans le besoin, sans défense, est comme regarder un chef-d'œuvre de perfection érotique.

BDSM soumission lsomise liée attachée

Je peux peut prendre votre soumission, vous devez vouloir que je la prenne comme si vous n'aviez jamais rien désiré auparavant.

jeudi 1 novembre 2018

Écrire votre beauté.

Je voulais écrire quelque chose à la hauteur de votre beauté. Mais les mots m'énervaient, ils étaient jaloux, voyez vous. Peu importe la façon dont je les arrangeais, pour les faire danser et se déplacer, ils n'étaient jamais aussi beaux que vous. Injuste défi.

Je voulais vous offrir un cadeau qui soit aussi doux que vous. Quelque chose de délicieux et de succulent, sans être ni trop riche ni trop prétentieux. Quelque chose comme vous, élégante enivrante. Quand je croquais, grignotais et avalais, tous ces mets étaient vides de gouts par rapport à vous, ils étaient tous si fades. Là où vous étiez si douce, aucune saveur n'était comparable, quand j'embrassais votre délicat visage.

Je voulais vous permettre de vous sentir belle, sensuelle et naturelle, les mêmes choses que je voyais quand je vous regardais de loin, ou de près, je voulais que vous compreniez, vous étiez unique. Je voulais; je ne peux tout simplement plus vous montrer ce que je voyais. Les lents mouvements de votre corps, que je dessine encore dans mon esprit, la façon dont votre tête s'inclinait devant moi, comme sur une courbe parfaite. La façon dont vous brilliez quand vos yeux s'ouvraient, je voulais juste que vous vous sentiez belle, unique. Et quand vous avez laissé tomber le voile, j'ai vue votre beauté comme elle devait être vue, aveuglante.


Je voulais écrire quelque chose à la hauteur de votre beauté et votre âme, mais ce n'aurait pas été suffisant, il n'y avait rien à retenir, à construire ou à ériger, qui puisse les égaler. Au lieu d'essayer de vous offrir encore ce que vous m'avez offert, je vous embrasse comme vous méritez d'être embrassée.