dimanche 28 février 2016

Le temps qui passe

Elle respirait lourdement et la chair rougie de son dos après la flagellation qu'elle venait d'endurer n'était pas pour lui permettre de ralentir de sitôt. La façon dont il tournait autour du lit pour cribler son corps donnait à la scène l'apparence d'une danse au rythme des sons de plaisir et de douleur, qu'elle produisait sous ses coups.

Pour une raison étrange, sa main semblait être très attirée par sa bite qu'elle caressait avec dextérité, une queue tendue, à la limite du désagréable. Il repoussa sa main d'autorité et elle a gémit, "Oh, s'il vous plaît Monsieur." comme si son plaisir en dépendait. Elle semblait plus dans le besoin que lui et il refusa à la vicieuse cette offrande des plus douces, car bien sûr, il y avait un prix pour une telle demande.

Il empoigna sa crinière, attirant son oreille à ses lèvres et lui dit sur un ton sadique et autoritaire qu'ils allaient jouer un jeu. Elle avait trente secondes pour le faire jouir ou bien il battrait la peau douce de son cul. Elle inspira une grande bouffée d'air comme si ces mots l'étouffaient et elle a commença à faire ce que toute salope ferai, elle commença à le caresser, la peau de son cul en dépendait. 30... 29... Quelqu'un va être battu... 28... 27... 26... Hmmm, vous avez vraiment envie de cette punition,... 25... 24... 23... ... 22... ... 21... 20... ... Ahhh, ce n'est pas de votre faute, vous essayez ... ... 19... 18... 17 Appliquez-vous... ...16... 15... ...14... Sa respiration s'intensifia et un éclair de panique passa dans ses yeux... 13... 12... J'en suis loin mademoiselle... 11... ...10... 9... 8 Plus vite... ...7 Plus fort, ... 6... ... 5 ... 4... Hmmm, vous voulez vraiment être fessée! ... ... 3... 2... 1...

"Tourner vous sur le ventre et attrapez la tête de lit, ne pensez même pas à bouger!"

Elle soupira et s'exécuta rapidement. Ses mains saisirent fermement le bois comme si sa vie en dépendait. Elle n'allait pas être sauvée.

Il ne commença pas directement à la punir, il enfourcha son dos et pesa de tout son poids sur elle en s'allongeant. Alors que son visage était maintenant légèrement au-dessus de la tête enterrée dans l'oreiller de l'incapable, il annonça "Ce n'est pas votre faute mademoiselle, vous avez essayé, mais pas assez bien, alors maintenant vous allez prendre votre raclée!"

"Oui, Monsieur..." dit-elle possédée totalement par son échec à le faire jouir.

La fessée commença par quelques petits coups pour éveiller ses sens, et lui faire comprendre que si c'est un jeu, ce n'est pas non plus une plaisanterie. Il s'est reculé un peu pour frapper ses fesses qui étaient maintenant en mesure d'en supporter un peu plus. Entre les claques, parfois il faisait une pause, pour saisir son cul, lui griffer le dos, frotter son corps nu contre sa peau, et sentir la chaleur de sa chair rougissante. Avec des baisers légers déposés entre deux coups vicieux, c'était une fusion de sa nature douce et sadique.

Il mena cette punition un temps, le temps que la respiration de cette garce soit frénétique, ses cris mémorables et son cul de la couleur d'une délicieuse pomme rouge, tant et si bien, qu'il ne pouvait que mordre dedans, et y laisser une nouvelle marque.

Avec force, il la bascula sur le côté et plongea son regard dans le sien, lui annonçant qu'elle avait cette fois quatre-vingt-dix secondes. Mais qu'avec plus de temps, il y avait de plus grandes conséquences. Aucun besoin de plus de précision, c'était suffisant pour qu'elle soit en panique et totalement sous son emprise dans la prochaine minute trente.


Sa main tremblait légèrement, son visage dévasté par l'excitation. Elle commença à le caresser, il commença à compter. Peu importe l'issue des quatre-vingt-dix secondes qui suivirent, ils savaient tous les deux qu'il avait déjà gagné.

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